Monday, March 12, 2018

 

Hug-centered loving individuals


Hug Me Tight and Free, Skin to Skin

GILLES GALLAS — OUVRIR LES BRAS POUR CHANGER LE MONDE — DU FREE HUG A LA CALINOTHÉRAPIE — AMAZON KINDLE — 2018



Que l’on me comprenne bien. Je suis de la génération après Woodstock – j’étais alors en Caroline du Nord – où on commença à voir apparaître dans certains évènements de rue, carnavals ou fêtes plus ou moins foraines des free hugging and kissing booths. C’était une action menée principalement – là où c’était possible – par les ancêtres du mouvement gay encore à peine sortie de leur écrin, de leur placard. L’auteur parle de ce que j’appelle personnellement une embrassade qu’il qualifie de clermontoise où les deux personnes oscillent de droite et de gauche sur leurs pieds comme un métronome. La série américaine « Who’s the Boss ? » défendait en son temps l’embrassade italienne papillon, les mains sur les omoplates de son partenaire d’embrassade et faire trois ou quatre battements de mains si possible vigoureux mais quand même pas trop. Butterfly Hugging. Je suis d’une culture où cette embrassade est normale, même si cela a pris cinq ou six ans à mon assistant pour comprendre l’amour qu’il y a dans une telle embrassade, amour mental et spirituel. J’ai personnellement beaucoup aimé cela en Afrique, entre hommes bien sûr car avec une femme cela devient nécessairement sexuel. J’ai beaucoup regretté au Sri Lanka bouddhiste que le contact physique soit déconseillé, quelque contact physique que ce soit, et dieu sait pourtant si mes moines étudiants et moi-même partagions un amour tout en méditation. […2 586 mots]



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